TWILIGHTContexte Forks, Etat de Washington. 2005
NdlA : Ville où il pleut le plus au monde.
Bella Swan, jeune lycéenne vivant à Pheonix, débarque chez son père, le shérif local. Est elle ravie ? Disons plutôt qu’elle fait ce qu’elle estime être le mieux pour sa mère, gamine délurée de presque quarante ans, remariée à un homme plus jeune, sportif de bas étage obligé de voyager pour vivre. Et le mieux est d’aller s’enterrer dans la minuscule ville de Forks, où tout le monde se connaît, où tout se sait et où elle est attendue comme le messie.
Les premiers jours se passent relativement bien, si ce n’est que Bella est très intriguée par la fratrie Cullen, des adolescents étranges, solitaires et à la beauté inconcevable. Le benjamin, Edward, avec qui elle partage certains cours, notamment de biologie, semble la détester au plus haut point.
Cependant, le jour où la jeune fille rate de peu d’être écrasée par un fourgon fonçant sur elle, Edward n’hésite pas à la sauver d’une mort certaine, mettant en péril, par la même occasion, le secret si bien gardé de sa famille : ils sont tous des vampires. De ce fait, ils sont soumis à des règles strictes, établies par une lignée de très vieux vampires.
Bella en apprend ainsi beaucoup sur cette race mythique. Notamment que certains sont végétariens, c’est à dire refusant de se nourrir de sang humain, comme les Cullen. Elle se rapprochera peu à peu d’Edward, leur amitié devenant rapidement un amour fou et dévorant, malgré la peur quasi panique du vampire de la blesser.
Seulement, leur belle histoire d’amour si idyllique ne pouvait rester en l’état. Les Volturi, ces vieux mais néanmoins puissants vampires, ont eu vent de tout cela. Ne désirant toutefois pas s’attirer les foudres de Carlisle, le patriarche Cullen pour qui ils ont un profond respect, ils envoient un groupe d’émissaires, à l’apparence d’adolescents, qui se font passer pour des lycéens italiens passant un semestre à Forks en vue d’un programme d’échange.
C’est ici que l’histoire commence…
© Meg
Inspiré des œuvres de Stephenie Meyer